Paris a raté l’occasion de mettre Monaco à 5 points à la trêve. D’abord très dominateurs grâce à leur jeu de couloir, les Parisiens ont ensuite subi la loi du LOSC, à l’initiative d’un bon pressing haut. Sur les trois périodes qu’on peut distinguer de ce match, Paris en aura dominé 2. Sans assez d’efficacité pour passer devant.
Le 4312 lillois ouvre les côtés parisiens
Lille se présente au Parc dans sa configuration habituelle cette année. En 4312. Cette organisation en losange, assez en vogue en ce moment – permet aux Lillois de compter sur deux 3 vs 3 intéressants : dans le cœur du jeu (Balmont-Mavuba-Gueye contre Ibra-Matuidi-Verratti) et sur la relance parisienne (Roux-Martin-Kalou contre Alex-Motta-Silva). Le hic (prévisible) : les côtés. Avec cette grande densité axiale, le LOSC abandonne un espace considérable aux deux latéraux, très offensifs, du PSG. Lire la suite